• Alors voilà.

    La séparation, c'est dur. Qu'elle soit en amour ou en amitié (ben oui, l'amitié c'est de l'amour).

    J'ai rencontré, il y a plus d'un an, une personne extraordinaire. Quand on s'est vues la 1ère fois, on a parlé pendant 3h !! Bref, une personne à qui tu t'attaches tout de suite, tu sens tout de suite que tu es sur la même longueur d'onde.

    On a passé de très bons moments ensemble, à refaire le monde, se serrer les coudes, parler de nos enfants... bref, elle était pour moi une véritable amie.

    Friendship

    Et puis la vie a fait que nous avons traversé des évènements très durs. Je n'ai rien fait contre elle, elle n'a rien fait contre moi. Mais la situation a fait que l'une et l'autre, nous étions dans une position délicate, blessées et éloignées sans qu'on puisse y faire grand chose.

    J'ai attendu... qu'elle digère les choses. Elle a commencé à prendre de la distance.

    J'ai pleuré de douleur, en voyant cette belle amitié s'échapper. Pourquoi ? Je ne comprenais pas.

    J'ai essayé de lui expliquer, de comprendre, de rajouter une note d'humour (je ne sais pas faire sans). Elle a répondu qu'elle ne pouvait plus et a fini son mail par un "adieu".

    Je n'y croyais pas... Elle allait comprendre, il fallait laisser passer le temps.

    Il lui restait des affaires à moi, on devrait forcément de revoir un jour ou l'autre pour qu'elle me les rende !
    Elle a tout envoyé par la Poste, sans un seul mot.

    Alors je me suis mise à la détester. Pourquoi cette indifférence, alors que notre amitié était si belle ? Pourquoi elle ne pouvait pas prendre du recul ? Pourquoi laisser "gagner" les mauvaises personnes qui se sont mises au travers de notre chemin ?

     

     

    Et puis, quelques mois après, une amie très chère a connu une séparation amoureuse. Une relation récente, mais passionnelle. Donc la séparation (qui est venu de lui) a été très dure.

    Et pourtant, moi, à l'extérieur de tout ça, je me suis dit "On ne peut obliger personne à nous aimer, même si on pense que cette relation peut marcher. En aucun cas, on ne peut forcer quelqu'un qui n'a pas envie"

     

    Wow, la claque. Le forcing que je faisais envers ma future ex-amie était de l'acharnement ! Et j'en souffrais, puisque ça ne se passait pas comme je voulais.

    Je n'avais pas le droit de forcer cette amitié, et il fallait que je sois en paix avec cette idée qu'elle ne voulait pas continuer cette relation, même si j'étais très déçue.

    J'ai pleuré une dernière fois en pensant à ça, dans la voiture. Et depuis, je suis nostalgique. Je repense parfois à elle, souvent même. Je me demande ce qu'elle devient, ce qu'elle fait.

    Mais je ne me dis plus que je voudrais savoir, être là.

    Non, je ne fais plus partie de sa vie, c'est comme ça.

     

    Je lui souhaite juste une belle vie.

     

    Couper les ponts

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  • Alors voilà.

    Je n'arrive plus à trouver du temps pour écrire !! Ah, c'est terrible, mais j'ai d'autres choses à faire à côté, t'imagines bien.

    Bon, je te fais un peu le point sur ce que je vis (comme ça a quand même pas mal changé depuis quelques mois) ?!

    2013 restera sans doute l'année de tous les changements et de toutes les découvertes, à moins que ce ne soit 2014...

     

    Dans le titre de cet article, je parle de bonheur. C'est vraiment le mot de mon année.
    C'est quoi le "petit mot" d'une année ? Regarde le blog de Daisydées (et régale-toi en passant, de toutes ses idées créatives !)

    L'année dernière, j'avais choisi le mot temps. L'année précédente, c'était le mot organisation.

    Le bonheur a commencé avec la Fabrique à Bonheurs. Les petits messages quotidiens sur Facebook, au moment où j'allais mal, ont mis le doigt sur une profonde volonté d'être joyeux, tout simplement.

    plaisirs simples

     

    La formation certifiante de la Fabrique à Bonheurs a été une semaine formidable, joyeuse et sérieuse, pleine de bonheur.

    J'étais en plein changement, et après des hauts et des bas, ça a été un électrochoc d'entendre certaines choses.
    Je n'ai pas forcément vécu depuis que des évènements positifs, c'est surtout mon regard qui a changé : j'ai juste décidé de vivre ma vie comme je l'entendais, en fait !

    il est temps d'être heureux

     

    J'ai décidé de passer mon bien-être avant les "codes sociaux" :
    - je suis fatiguée, j'annule la prochaine soirée
    - je n'ai pas spécialement envie de passer un WE en famille, je décline
    - je sens un trop plein avec les filles, je dégaine un dessin animé (sans culpabilité)

    J'ai arrêté de me mettre la pression et de placer la barre trop haut. Non pas que je me contente de médiocrité, mais j'apprends à me satisfaire pleinement de ce que je fais et de ce que j'ai.

     

    petits bonheurs

     

    Et les petits bonheurs de la vie quotidienne, quand tu les regardes bien, ça peut te combler !
    Ca me paraissait parfois un peu futile, avant, certaines phrases toutes faites, sur le bonheur.
    Maintenant, j'en prends toute la mesure, et je savoure chaque seconde.

    Mon plus merveilleux souvenir des dernières vacances ?

     

    Croods

     

    Regarder les "Croods" en famille.
    J'adooooooore ce dessin animé (et les messages qu'il renferme) et c'est vraiment le truc sympa à faire pendant les vacances d'hiver (avec un bon chocolat chaud et un feu dans le poêle).
    En famille, simplicité absolue, et ça ne coûte rien. C'était d'ailleurs le plus beau cadeau de Noël pour le Crapaud !

    Au pied du sapin, il y avait aussi un superbe livre de Catherine Dumonteil-Kremer "Les petits bonheurs d'Agathe"

     

    Agathe

     

    On s'est beaucoup retrouvé dans cette histoire, dans cette vision de la parentalité.
    On se régale de faire les p'tits bonheurs tous les soirs, au moment du coucher. Chacun dit son p'tit bonheur. Le Caméléon avait bien du mal, du haut de ses 2 ans, à trouver quelque chose, et répétait souvent quelque chose qui avait déjà été dit. Mais maintenant, elle prend parfois la parole pour dire son petit bonheur, c'est vraiment chouette.

     

    page petits bonheurs

     

    Hier soir, avec le Papillon, on se disait qu'on était drôlement heureux depuis 1 an.
    Je te rassure, on continue à s'engueuler de temps à autre, ce n'est pas toujours facile avec les filles, mais oui, globalement, on a changé notre regard sur la vie, on a fait des choix et on apprécie bien plus notre nouvelle vie !

     

    vivre ses rêves

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  • Alors voilà.

    Plus d'un mois que je n'ai pas écrit. Wow. Ca faisait longtemps que c'était pas arrivé, ça !

    Peut-être parce que je ne trouve pas le temps, peut-être parce qu'on a pris le temps de vivre, peut-être parce que j'avais tellement d'autres choses à faire.

    Mais voilà, ma nouvelle vie a pris forme depuis quelques semaines, quelques mois, et, même si tout n'est (vraiment) pas parfait, j'adore !

    Allez, j'te raconte ?!

    Nous avons commencé très doucement début septembre, le Papillon ne travaillant presque pas (et je te passe les nombreux commentaires évoquant notre statut de glandeurs éternels...)

    On a donc été au bord de la mer (quand personne n'y est, c'est juste génial), au Parc de Branféré (très sympa aussi avec peu de monde), à divers festivals.

    Branféré plage

    Trop dure, la vie en IEF...
     

    On a commencé à voir régulièrement notre groupe de copains non-sco aussi.

    En rajoutant les choses de la vie quotidienne (les courses, les RDV, les bisous aux papis-mamies), le temps est passé vite

    J'ai aimé ce temps hors du temps, de pouvoir laisser mes filles se réveiller quand c'était le moment pour elle, de pouvoir trainer un peu plus le soir parce qu'on est bien, de prendre le temps de faire les courses avec le Crapaud (peser, choisir le vrac, payer...)

    Toutes ces petites choses qu'on ne trouve plus le temps de faire en temps normal.

    temps qui passe

     

    Et puis, en même temps, on avait du mal à s'installer, et surtout à "travailler".
    Ma mère me demandait si on arrivait à travailler 6h par jour. Comment dire ? En IEF, tu ne travailles pas 6h par jour, c'est tout l'intérêt, d'ailleurs ! En général, on dit que quelques heures suffisent, puisqu'on est en individuel.

    Mais au-delà de ça, je n'arrivais pas à me mettre à bosser (un peu quand même), mais sans me prendre la tête. Et je n'arrivais pas trop à installer les choses avec le Crapaud, les deux jours où nous étions seules à la maison.

    Alors on est resté sur notre unschooling, entre cuisine et construction d'un poulailler, liste de félins après avoir parlé du chat du voisin, lecture de BD...

    Jusqu'au jour où elle m'a dit : "Maman, je veux retourner à l'école"
    Aaaarrrrrrffff, ça a brisé mon petit coeur de maman.

    Plein d'émotions m'ont traversée à ce moment-là : de la tristesse, bien sûr, mais aussi de l'incompréhension ("quoi, elle préfère aller à l'école ?"), de la dévalorisation ("je n'arrive pas installer les choses moi !").

    En même temps, je voyais bien que mon Crapaud avait très envie de voir des copains, et tournait un peu en rond parce qu'il manquait des apprentissages au tableau. Elle a même demandé "une fiche", l'horreur !!

    Il s'agissait en effet de répondre à ses besoins, et je ne savais pas comment réagir.

    Au même moment, une sacrée opportunité s'offrait à moi, et j'ai plongé dedans !!
    J'ai décroché du taf dans une école Montessori !!!!!!!!!!!!

    école montessori

    Etape n°3, nous voilà

    Pendant l'entretien, j'ai dit cash "OK, moi je veux bien bosser pour vous si le Crapaud peut venir aussi"

    Et la réponse a été oui !

    Une semaine plus tard, nous nous sommes préparées, le Crapaud et moi, tôt le matin, pour aller visiter notre nouvelle école. Deux jours par semaine seulement, mais c'est un chouette équilibre pour nous : des copains et un cadre rassurant pour le Crapaud, une activité professionnelle super enrichissante avec une très belle équipe dans une école ayant un projet énorme pour moi.
    Que demander de plus ?!

    Pour l'instant, cela nous convient, même si ce nouveau changement implique encore de réinstaller les choses à la maison (sommeil trèèèèès léger du Caméléon, fatigue et sentiments exacerbés pour le Crapaud, boulot pour le Papillon et moi)

     

    En parallèle, j'ai animé mon 1er atelier de pédagogie positive de la Fabrique à Bonheurs il y a quelques jours, et j'ai a-do-ré !!!!

    Fabrique à Bonheurs

    Une superbe journée, des participants ravis... j'en veux d'autres ! Ah, super, le prochain, c'est dans 2 semaines

    Et pour finir cette semaine sur une note positive, je serai dimanche près de Rennes, au salon Ille et bio, pour Révolutionner l'éducation !

    Ille et bio

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  • Alors voilà.

    Dans quelques jours, les enseignants et les élèves reprendront le chemin de l'école. Mais pas moi.

    Je te l'avais déjà dit, je serai en dispo dès le 1er septembre, pour (au moins) 1 an.

    Une libération. La rentrée, c'est vraiment stressant en tant que prof. Tout à organiser, plein de trucs géniaux trouvés qu'on voudrait mettre en place, du bricolage, des blogs à explorer. C'est vraiment stressant la rentrée.

    Depuis quelques mois, je réfléchis donc en parallèle sur mon futur et ce que je vais bien pouvoir faire de ma vie.

    L'étape n°1, je t'en ai parlé en juillet, . Bon, la semaine de formation à la Fabrique à Bonheurs a juste été génialissime !!
    Exactement ce que j'attendais, de l'humour, du positif et du bonheur. Que demander de plus ?!
    J'ai hâte de commencer à faire des ateliers par chez moi, maintenant que je suis une formatrice agréée :-)

     

    Maintenant, passons à l'étape n°2.

    Quand j'ai su que je ne travaillerais plus à la rentrée, j'ai pensé que je ne mettrai plus le Caméléon à la crèche. Plus besoin de la faire garder !

    Mais quand je me suis imaginée en train d'emmener le Crapaud à l'école, aller la chercher le midi pour la faire déjeuner, la remmener et enfin retourner la chercher une dernière fois à l'école (y'a pas d'école publique dans ma commune, donc je prends ma voiture), je me suis dit que je n'aimerais pas du tout cette vie de desperate housewife !

    Attention, je ne critique pas toutes les femmes qui font ça tous les jours ! Bravo à elles. Mais je ne m'y vois pas moi, c'est tout.

    J'ai donc décidé de déscolariser le Crapaud ! Bien sûr, la décision n'a pas été aussi simple à prendre. Et si je n'y arrivais pas ? Et si j'attendais le retour du Papillon à partir de 10h03 tellement je gère pas ? Et si le Crapaud n'apprenais rien ?

    Bref, pas mal d'interrogations sur une pratique encore mal connue, et donc qui fait peur.

    socialisation

     

    Je te parlerai plus tard des réflexions qu'on a entendues sur le sujet (sur la socialisation surtout), ça vaut un article à lui tout seul...
    D'ailleurs, si tu as des questions, sympas, bêtes mais pas méchantes, tu peux me les poser, j'y répondrai avec plaisir !

    mensonges

    Pour rappel, ce n'est pas l'école qui est obligatoire, mais l'instruction. Donc ne pas scolariser son enfant à partir de 6 ans est un droit.

    Si tu veux plus d'infos, tu peux aller lire ça ou ça, deux articles tout à fait intéressants qui expliquent ce qu'est l'IEF (Instruction En Famille).

    Il existe aussi trois assos défendant le droit à l'IEF : LED'A - les enfants d'abord, LAIA - libres d'apprendre et d'instruire autrement, CISE - choisir d'instruire son enfant

    Ce que je peux t'en dire, c'est mon ressenti là-dessus, parce que, pour l'instant, j'ai pas (encore) testé !

    Au début, j'avais peur d'être une instit chiante avec mes propres gosses, genre on respecte les programmes à la lettre... peur de me mettre une pression identique à celle que je fuyais dans l'EN.

    calvin

    Ensuite, je me suis demandée comment j'allais gérer la grande de 6 ans et surtout la petite de 2 ans et demi... (tu te rappelles, le terrible two ?!)
    Je ne me voyais pas être dans un travail qui demande de la concentration avec le Crapaud et me faire déranger rapidement par le Caméléon.
    Comme en plus, j'ai posé, entre temps, des candidatures pour des boulots à temps plein, on a choisi, avec le Papillon, de garder le contrat de crèche, au moins au début.
    Elle ira donc à la crèche 2 jours par semaine, pour nous laisser du temps, au Crapaud et à moi, pour bosser tranquille (en Montessori et en projets), et elle, profiter de ses copains.

    Toute cette histoire est un choix financier, bien sûr, puisque je n'ai plus de salaire. Il faudra compter sur le boulot du Papillon, et sur une diminution de nos couts mensuels (déjà amorcée).

    Je devrais pouvoir gagner de l'argent (et avoir une reconnaissance professionnelle et passer des chouettes journées avec d'autres personnes) grâce aux ateliers de la Fabrique à Bonheurs.

    Quant à la sphère Montessori, elle reste plus proche que jamais, même si je ne lance pas d'ateliers chez moi comme je l'avais imaginé un temps. Elle pourrait même faire partie de l'étape n°3, mais je n'en dis pas plus pour l'instant ! (bah t'attendras le prochain article sur l'étape n°3, t'es gentil(le) !)

    Pour reprendre le déroulement de la semaine, le mercredi sera une journée off, et pour les deux jours restants, je prévois plus ou moins de retrouver un groupe d'enfants désco, et de faire un max d'artistique (peinture, pâte à modeler, land art, jardin, musique...), tous les trucs géniaux qu'on n'a pas assez le temps de faire avec nos enfants dans nos vies de dingues.

     

    what it is really

     

    En IEF, surtout dans les pays anglo-saxons, on distingue le homeschooling et le unschooling. Le 1er parle de l'école à la maison. Le 2ème évoque plutôt le fait d'apprendre de manière informelle, sans vrai cours.

    A force de lire des choses sur le sujet, et ne sachant pas encore où tout cela nous mènera, je pars plutôt sur du unschooling, dans l'esprit de profiter des choses de la vie pour apprendre (les courses, les BD, une observation dans le jardin...)

     

    quote1quote2

    quote3quote4

    des jolies citations, dont Piaget en anglais !

    Dans cet esprit, nous avons visité aujourd'hui la médiathèque la plus proche de chez nous (on allait déjà très régulièrement à la biblio de notre commune, mais ce n'est quand même pareil), et on s'est régalé.

    On a aussi attaqué l'atelier Montessori (à sa demande).

    On a fait à manger.

    On a congelé des courgettes farcies.

    Elle a joué.

    Elle a lu.

    On a lu.

    Bref, on a vécu une journée normale, mais c'était chouette !

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  • Alors voilà.

    Si tu as des enfants, que certains sont des filles et qu'en plus, elles ont les cheveux longs, tu sais que le moment du bain peut vite virer au cauchemar.

    Bah oui, la vie, c'est ça. Des moments de bonheur mais aussi l'horreur du coiffage de cheveux.

    J'ai deux filles. Gloups.

    Ce n'est en général pas moi qui m'occupe du bain (oui, oui, le Papillon se charge de ça aussi) mais parfois, il faut bien s'y coller.

    Et arracher la tête de mes filles pour les coiffer, j'aime pas.

    Autour de moi, certaines personnes ont cherché vainement un bon démêlant.
    Soit elles ont trouvé un démêlant qui ne démêle pas (si, si, ça existe), soit elles se sont rabattues sur un produit non bio (parce qu'il faut bien trouver quelque chose).

    De mon côté, j'ai choisi au hasard un produit dans ma biocoop, et j'en suis ravie !

    Alors si pour toi aussi, le coiffage-démêlage est juste affreux, voici ma perle :

    démêlant

    tadam !

     

    J'utilise donc le baume démêlant de Ciel d'Azur. Un bonheur.

    Il est agréable à utiliser, même s'il faut quand même mettre la dose pour que ce soit bien efficace. Ils indiquent une noisette mais je dirais plutôt une bonne noix !

    Ensuite, on passe le peigne sur cheveux mouillés avec le démêlant, et déjà, il n'y a quasiment plus de noeuds... Quand on rince, ça se coiffe tout seul.

    Bref, c'est un démêlant quoi ! Mais qui marche super bien.

    Je n'ai aucun lien avec Ciel d'Azur, hein, je trouve juste ce produit tip top et fallait bien que je te le dise, comme ça, en passant.

    Tu peux me dire merci, hein, ça mange pas de pain :-)

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